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Le rapport de Nathan Walters Je m’appelle Nathan Walters. J’ai 39 ans et j’habite à Isle aux Morte. J'étais un passager à bord de S.S. Caribou à l'heure qu’elle était torpiller. Nous avons navigué de North Sydney à bord le S.S. Caribou à environ 22h00 le 13 octobre, 1942. Je marchais pendant une grande partie de la nuit tandis que la plupart des passagers étaient dans leurs couchettes. J'étais dehors sur la plate-forme à environ 3h30 du matin, le 14 octobre et c'était une très bonne matin avec le vent soufflant du sud-ouest. Je suis parti de la plate-forme quelques minutes plus tard et je suis allé à la 2ème classe pour aller au lit. J'avais enlevé mes chaussures et mon manteau, j’ai allumé une cigarette, et j’étais sur le point d'entrer dans la couchette quand la torpille a heurté le bateau ; le temps était environ 3h50 du matin. J’ai couru pour les escaliers menant à la plate-forme à partir de la 2ème classe et quand je les ai atteints l'eau était à ma taille. J'ai réussi à atteindre la plate-forme, où il y avait du panique et de la confusion parmi les femmes, les enfants et les passagers mâles. Je suis allé à la plate-forme de boa du bâbord du bateau et j’ai aidé à baisser deux bateaux qui étaient pleins des passagers, y compris des hommes et des femmes. Je ne sais pas ce qui est arrivé à ces bateaux après. Il n'y avait aucun bateau du côté droit du bateau où la torpille avait heurté, et il était évident qu’ils ont été lancés ou cassés par l'explosion. J'ai alors laissé le côté droit et suis allé à la plate-forme de bateau du bâbord et je me suis tenu dessus sur un des daviers jusqu'à ce que l'eau ait été à mon coffre et alors j'ai nagé loin du bateau pour rechercher quelque chose pour me soutenir mais je n'ai rien trouvé jusqu'environ à 8h00 du matin, quand j'ai réussi à monter dans un bateau de sauvetage, qui avait été coupé en deux morceaux. Avec moi sur le bateau était un homme canadien de service que j'avais aidé à monter. Le Caribou est descendu environ 10 minutes après avoir été frappé. Puis, nous avons vu un tambour flotter vers nous alors nous l’avons pris et nous l’avons attaché au contrecarre du morceau de bateau pour l’aider à flotter. Plus tard deux sacs de courtepointes ont flotté vers nous et nous les avions utilisées pour nous aider à maintenir chauds. Pendant le temps précédent à notre monter dans le bateau de sauvetage j'avais entendu deux explosions, apparemment des grenades sous-marines. À environ 8h30 du matin j'ai aperçu une Corvette environ trois milles au sud qui navigé dans notre direction. Sur son chemin elle a pris un certain nombre de survivants des radeaux et alors elle a pris moi et mon compagnon canadien. Je suis alors devenu délirant, mais environ une heure après j'ai commencé à me sentir bien et alors j'ai reçu des nouvelles de certains des passagers que des survivants d'un bateau de sauvetage avaient été pris à bord et aussi que nous avons été dirigés vers South Sydney, où nous sommes arrivés à environ 16h30, le 14 octobre. J’ai été alors pris à un docteur qui m'a libéré en tant qu'étant en état très bon. Plus tard je suis allé au “Blue Bird Hotel” à North Sydney et puis j’ai parti pour la maison, sur S.S. Burgeo, où je suis arrivé dimanche le 18 octobre, 1942. (sgd.) Nathan Walters Témoin : J. Coffin, Ranger,
Les résultats des intérrogation supplémentaires de Nathan Walters Une fois interrogé au sujet de la présence d'une Corvette comme escorte au Caribou, M. Walters a répondu qu'il n'avait vu aucun signe d'une Corvette pendant la nuit bien qu'il a passé la plupart de la nuit et des heures tôt le matin sur la plate-forme. Le premier signe de la Corvette était à environ 8h30 du matin, le 14 octobre, quand il l'a vue venir du sud. Quand demander au sujet d'un sous-marin, qui a été vu par certains des passagers, M. Walters a déclaré qu'il n'a vu aucun signe de lui. M. Walters a également dit qu'il n'y avait aucun autre bateau à la scène de la délivrance excepté le Corvette. Pendant qu’il était dans l'eau, avant jour, M. Walters a vu qu’un avion avec les lumières de navigation qui entourer l'épave et après le jour il a vu un grand nombre d’avions, avec les inscriptions canadiennes, entourant l'épave.
J. Coffin, Ranger
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